Re: Banquet du mariage

par **Camille** Mar 28 Mai - 0:24

Et bien il semblait qu'il était temps de lancer les danses à la demande des invités! Camille adressa un regard attendri en coin à son cher époux.

Je crois, mio condottiere, qu'il va nous falloir aller sur ce champ de bataille pour échanger un pas de deux et montrer que l'amour sait faire avancer à l'unisson.

Le couple vint se placer au centre de l'espace de danse et à un signe vers Mab qui s'était proposée pour mener la musique, la danse commença, une volte bien sur. Les deux époux bougeaient en harmonie, les regards et les corps se cherchant avec cette légère tension de deux cœurs qui s'étaient liés sans qu'encore les corps ne se soient unis. La tension sensuelle était latente, Maël faisait virevolter l'italienne et une joie sourde d'avoir bravé tous les interdits pour être sienne irradiait de Camille, dont les doigts effleuraient ceux de Maël.

Peu à peu, les couples vinrent les rejoindre pour suivre les pas de la mélodie légère. Le bal s'ouvrait pour tous et les festivités pouvaient commencer.

par Mab. Mar 28 Mai - 7:03

[Eh bien! Si ce moment est venu pour nous deux,
Quels mots me direz-vous ? * ]

Quoi de plus beau que la danse d'ouverture, lorsqu'après avoir échanger leurs voeux, corps et âmes s'apprivoisent alors des mêmes pas, des mêmes gestes qui les poussent l'un vers l'autre et les mettent au diapason.
De la vie, de la musique et de l'amour. Et en cet instant le coeur de Mab débordait de joie en suivant des yeux les mouvements tout à la fois assurés et délicats des nouveaux époux.

Et en remerciement d'un si doux moment, la dimezell avait un présent, un cadeau offert à la fois par le coeur et par la voix, au couple qu'elle suivait avec joie.
La volte terminée, quelques mots avec les joueurs, puis la voilà à dévoiler son attachement en quelques tendresses chantées.

Ne m'oublie mie belle et avenant! Quant je ne voz voi, s'en sui plus dolens, car je n'oublie mie vostre grant valor ne la compagnie a nul jour; n'avrai mes envie d'amours d'autre femme née. C'est la jus en la ramee, amours ai! Marions est alee; bone amour ai, qui m'agrée.

Point d'infidélité en ce jour de festivité, seules les belles paroles d'un Machaut pouvaient ainsi être déversées en flots de doux sentiments, du bout des lèvres, ephémère présent qui resterait, elle l'espérait, en tête et ainsi pour de nouvelles amours être à nouveau chantés.

Petit coup d'oeil circulaire, repérant par quels endroits il lui faudrait ensuite passer afin de se présenter, semblant de rien, à quelque potentiel futur commanditaire, et voyant ainsi qu'auprès des couples formés qui avaient pris possession des lieux, les autres semblaient s'impatienter, allait débuter quelque chose de plus sautillant !

*Cyrano de Bergerac - Acte III Scene VII

par Chikaka Mar 28 Mai - 7:51

Chika sourit à Lancéor. Nullement étonnée que lui aussi n'aimait pas les bains de foule.

Mestre ! c'est avec plaisir que j'accepte le combat artistique que vous me proposez.

Elle se mit face à lui et glissa sa main fine dans la main ferme de Lance.

Pensant aux jeunes mariés elle ajouta :

Je me demande comment Maël va danser avec Camille ! Une danse des ours peut-être

par Hoel Mar 28 Mai - 8:21

Hoel n'aimait pas la danse mais il avait voulu tenir sa parole et il était resté, là dans un coin pas trop loin d'un morceau de parchemin, à attendre sa cavalière.

par Mab. Mar 28 Mai - 8:31

Et la cavalière d' arriver pimpante, sautillante et tout sourire et de le tirer doucement par le bras, sans oublier de lui faire les gros yeux lorsque ceux-ci se posèrent sur la paperasse.

Ce n'est pas tous les jours que l'on peut s'amuser Hoel ! Pas de travail donc pour aujourd'hui mais de l'amusement uniquement !

Ni une, ni deux, le voilà embarqué dans la danse à la suite de Mab qui zieute déjà si elle n'arriverait pas également à alpaguer Gin et Zak au passage retour vers la piste.

par Hoel Mar 28 Mai - 9:34

Hop, pas le temps de répondre et le jeune archiviste se vit être sur la piste de danse, Mab savait y faire avec l'animation!

par lanceor Mar 28 Mai - 14:29

Il fixa Chika qui lui avait pris la main et sans sourciller se mit à danser.

Avoues que tu n'y croyais pas ! Mais je vais te confier un secret... Certains mestres d'armes usent de la danse pour faire progresser leurs élèves. Etant jeune j'ai suivi quelques cours avec des italiens qui pratiquaient... J'ai un peu perdu, certes. Mais je crois que j'ai de vieux restes !

Une quinte se commence face à face dimzell, me feriez vous l'honneur ?

par Chikaka Mar 28 Mai - 15:31

Chika l'écouta et ne doutait nullement de ses propos.

En taverne tu semblais dire qu'on se connaissait par coeur tous les deux. Mais ce que tu me dis là me fait penser le contraire. J'ignore tellement de choses à ton sujet. Et ce sera avec un grand plaisir que je me laisserai guider. Vas y apprend moi la quinte car c'est une danse que je ne connais pas du tout.

Oui elle était baronne, mais aussi loin qu'elle se souvint, elle n'avait aucun souvenir d'avoir dansé. La dernière fois c'était avec Guillaumetell... Aucun souvenir d'une danse avec son mari fantôme...

Pardonnes moi à l'avance si je te marche sur les pieds.

Le nouveau Lanceor l'intimidait plus qu'elle ne voulait l'avouer.

par lanceor Mar 28 Mai - 15:34

Le mestre sourit.

Suis moi et tu y arriveras... La quinte n'est pas un corps à corps, on ne se rapproche qu'à la fin...Donc pour l'instant ne pense pas à tes pieds, on se rapprochera à la fin.

par Chikaka Mar 28 Mai - 15:56

Chika lui sourit, soulagée de ne pas être un trop gros boulet pour le mestre.

D'accord ! Je te suis. Je vais faire de mon mieux.

La jeune femme réfléchit...

La quinte ce n'est pas la danse où tous les hommes sont d'un côté et toutes les femmes se trouvent en face ?

Elle avait un vague souvenir de cette danse où elle avait regardé sans participer.

par lanceor Mar 28 Mai - 18:37

Exact, mais à deux ce sera vite réglé... Au moins, on ne risque pas de se gêner !

par Chikaka Mar 28 Mai - 19:00

Au début ses pas et ses gestes étaient un peu saccadés , essayant de suivre Lanceor. Puis au fur et à mesure la souplesse prit place et ce fut harmonieusement que le couple dansa la quinte.

La jeune femme appréciait ce moment et s'amusait énormément. Cela faisait des lustres qu'elle n'avait pris autant de plaisir.

Détendue elle n'arrêtait de sourire et ses yeux pétillaient de bonheur.

Lance ! Tu es un excellent danseur ! Y a-t-il un domaine où tu n'excelles pas ?

par coldtracker Mar 28 Mai - 21:38

Et de danser avec son épouse.
Doué qu'il aimait y penser.

Son épouse.

Des gestes précis et un déplacement sans même regarder ses pieds....

La regardant droit dans les yeux....

Un épéiste digne de ce nom savait se déplacer en équilibre parfait et en rythme....

Et Maël était plus qu'un épiste averti...Il était mestre d'armes et de guerre et savait sa danse de mort.

Mais pour l'heure il appréciait cette danse qui celebrait le bonheur, la vie et l'amour.

par IMAGINE Mer 29 Mai - 2:47

Mab se prépare à lancer l'ouverture du bal, Imagine en profite pour aller chercher à boire. Elle se faufile au milieu des nombreux invités maintenant. Découvrant entre les têtes et donc par petits morceaux, la décoration de la salle puis celle des tables, pour enfin atteindre presque le banquet. C'est alors qu'elle voit la jeune dame blonde, celle à qui le Mestre Lancéor a tendu un verre. Elle a l'air plutôt d'être une calme, posée, avec une certaine éducation. Elle hésite un instant parce que la situation n'était pas évidente puis se lance, un doux sourire aux lèvres, persuadée qu'elle arrivera à la convaincre. Elle est à deux doigts de lui toucher l'épaule que la douce blonde se métamorphose. La voilà qui grimpe sur une chaise et siffle pour réclamer de la boisson. Imagine reste un moment en arrêt, la tête relevée à la regarder bouche bée , puis fait immédiatement demi tour pour disparaitre dans la foule.

* nan mais qu'est ce qu'il s'est passé ? on me l'a échangée en cours de route ou quoi ? oh ! bon sang ça ne va pas être facile, du tout , du tout*

Encore dans ses pensées tout en essayant de rejoindre zak, qu'une main lui passe un verre plein devant les yeux. Elle s'arrête net.

- Alors on se dégonfle ?

Elle parcourt du regard le bras tendu et remonte au visage. Paul ! Elle lève un sourcil , sourit et le nargue.

- Absolument pas ! Je n'ai pas encore commencé, vois-tu ?

Paul est aussi arbalétrier à la compagnie noire. Ils s'entendent très bien et passent leur temps à s'embêter l'un l'autre. Elle lui sourit largement, prend le verre qu'il lui tend, le lève en l'air pour le remercier et commence à boire.

- Voyez-vous ça .. alors pourquoi tu n'as pas sauté sur l'occasion que t'offrait Camille ?

Elle déglutie rapidement et le regarde avec de grands yeux.

- Pourquoi ? elle est au courant ?
- Nooon mais avoues que ça tombait bien .
- Ah oui..mais non ! elle m'a surprise, je n'étais pas prête du tout.
- je croyais que c'était facile et maintenant il te faut te préparer ?

Elle reprend un gorgée et regarde autour d'elle si on les voit

- Alors là attention ! je n'ai jamais dit que ça allait être facile, j'ai dit que ce n'était pas si compliqué .
- c'est un peu pareil non ?

Elle se penche vers lui sur la pointe des pieds et lui chuchotte

- il faut qu'on change. Donne-moi le nom de qui tu veux mais pas lui.

Il éclate de rire pendant qu'elle souffle en levant ses yeux au ciel.

- tu as dit textuellement , et là il imite ses mimiques à elle "quand tu veux je te le prouve avec qui tu veux, dis-moi quand et qui ! ", tu l'as dit ou pas ?

- gnagnan gnan ... tsss...je l'ai dit oui, mais surement pas en faisant cette bouche ! non , allez, Paul, pas avec les chefs , là c'est trop délicat ! Tiens Louic, on prend Louic hum ?
- Pas question, Louic n'est pas une référence, il dit oui à tout lui . Donc tu t'avoues vaincue ?

Elle finit cul sec le verre et le remet sèchement dans la main de Paul.

- Pas question ! Il me faut juste un plus de temps, je n'avais pas prévu qu'il y ait cette blonde ! qui c'est d'ailleurs ?

Paul se hisse sur la pointe des pieds et cherche au loin

- C'est une des trente je crois mais pas certain.
- Ils sont ensemble ?
- Aucune idée !
Elle souffle à nouveau , trés embêtée
- oh non mais ç'est un coup à me faire tuer , quoi !
- Renonces ! personne ne t'oblige. et il la nargue à son tour. T'as les écus sur toi ?
Elle lui lance un regard noir.
- Je te laisse on va finir par croire qu'on complote.

Elle tourne les talons et le laisse en plan. Tout à coup, les invités s'écartent de la piste de dance. Le silence se fait. Le bal est ouvert par les mariés. Elle les regarde danser. Ils ne se quittent pas du regard. Elle est assez surprise des gestes élégants et grâcieux du grand chef ! Elle l'aurait vu nettement plus maladroit et gauche. Elle détaille au passage la robe de la mariée sous toutes les coutures. C'est plus fort qu'elle ! Ce n'est pas tous les jours que quelqu'un portait une robe "Lallie" autant en profiter. Le nom était connu dans le milieu de la haute couture. Elle n'en a pas l'air mais Imagine est Maitre couturier dans la grande maison de couture des doigts d'Or, même si par fierté le bretonne a refusé le titre, il n'en demeure pas moins qu'elle l'est, aussi elle sait reconnaitre et apprécier le talent. Camille repasse devant elle. Elle est tout simplement radieuse. Sa beauté captive. A ses tout débuts en couture, Imagine avait prise comme égérie Camille. Pour ce visage aux traits si fins, ses longs cheveux brillants et soyeux, pour ce corps aux courbes si féminines qui sait se mouvoir avec tellement de grâce.

Une voix celeste la tire de ses pensées. De nombreux couples ont rejoint les mariés. Mab surprend tout le monde ! Imagine se laisse transporter par le chant de l'ange puis s'ensuit une musique un peu plus soutenue qui embarque à nouveau les couples de danseurs. Lancéor se plante juste à un mètre d'elle et se prépare à danser avec la jeune dame blonde. Imagine perd son sourire. Elle se retourne croiser le regard de Paul qui répond à la désespérée par un grand sourire sadique.

par Margot Strandhögg Mer 29 Mai - 9:35

Des chants, des exclamations de joie, les cris des enfants, le brouhaha des conversations...
En suivant le jeune page dans le couloir, Margot lisse machinalement le tissu de la jupe, regrettant brusquement le calme du couvent, et se demande si elle ne ferait pas mieux d'envoyer un simple mot à son mari pour le prévenir de son retour.
Et puis revenir au monde à l'issue d'un mariage n'est pas la solution la plus facile, il va lui falloir se rappeler des noms des invités, se réhabituer à la foule.

Mais la mariée n'est pas n'importe qui.
Camille....
Elle lui doit bien sa présence, à cette femme qui s'est découverte amie, qui était présente à son propre mariage.
La blonde est contente que la situation se soit améliorée pour elle, elle qui s'est battue pour l'homme qu'elle aimait.

Les mains tremblantes sont nouées dans les plis du jupon, les épaules un peu rentrées pour éviter de trop montrer sa maigreur, on a beau sortir de six mois de souffrance, on en reste toujours coquette.
A l'entrée de la grande salle, la musique et les bruits l'agressent, l'obligeant à un temps d'attente, le cœur se met à battre la chamade alors que les azurs font un rapide tour de salle, cherchant dans la foule la silhouette bien connue et recherchée. Pour lui, c'est pour lui qu'elle s'est précipitée.
D'une main légère, et bien trop fine, elle arrête un instant le jeune page.

S'il vous plait, pouvez vous trouver Messire Slicer Strandhögg je vous prie.
Et lui dire que sa femme l'attend.

Non, elle ne pourra pas traverser la salle sous les regards de tous sans son bras si solide et secourable.
Elle le veut, lui, comme le soutien qu'il a toujours été.

par slicer Mer 29 Mai - 14:09

Quelle surprise ! Le page qui l'avait rejoint pour lui signaler la présence de sa blonde avait bien eu du mal à le trouver. Il faut dire qu'il était bien caché, sirotant une choppe de chouchen, à l'écart, appuyé sur un pilier.

Immédiatement, ses yeux se mettent à fouiller les alentours, puis il la repère, à l'entrée de la salle.

Il se faufile puis s'approche d'elle, souriant. Comment seront leurs retrouvailles ? Il la dévisage, elle n'a pas changé, si ce n'est qu'elle est bien amaigrie. Mais des kilos, cela s'attrape facilement.

Arrivé à sa hauteur, il la salue d'une légère révérence, puis lui dit :
Enchanté, Madame.

Il n'était pas le temps aux explications, juste au plaisir de l'avoir à nouveau à ses côtés. Il ne poserait même pas la question de savoir comment elle allait, ça il le voyait.

J'ai bien fait de ne pas aller féliciter les mariés. Me feras-tu l'honneur de m'y accompagner ?

par Margot Strandhögg Mer 29 Mai - 15:51

Enfin.... Les azurs se sont fixés sur lui, le regardant traverser la salle, un sourire attendri sur les lèvres pâles.
Il n'a pas changé, la silhouette reste la même, et son sourire ne semble pas différent, juste moins inquiet que lorsqu'il l'a laissé entrer au couvent.
Elle lui tend la main au moment où il fait la révérence, et attend qu'il se soit redressé pour monter sur la pointe des pieds et effleurer ses lèvres.

Demat mon beau sire.
Tu m'as manqué.

Mais ce n'est pas l'endroit pour certaines effusions, la blonde se remplit le regard et le se réchauffe l'âme en l'observant.
Alors la main légère se place sur son bras, serrant doucement le muscle sous ses doigts. Et les yeux disent le reste.

L'honneur, mon Chevalier, c'est toi qui me le fait.
Je suis venue dès que j'ai pu, te retrouver. Et puis, je suis contente d'être là pour le mariage de celui que tu apprécies tant.
Allons donc féliciter les héros du jour.

Cela me rappelle les nôtres, d'épousailles. Et ce jour merveilleux...

par Lanaelle du Chastel Ven 31 Mai - 12:23

Après avoir laissé messire Alazarian à l'entrée de la salle,
Lanaelle était partie voir si les tables du buffet ne manquaient
de rien puis elle se réfugia de nouveau dans son coin en
prenant soin cette fois de bien se cacher à la vue des autres.

Elle repensa à sa conversation avec Alazarian et se demanda
comment on pouvait vivre ainsi, sans oser avoir de contacts
avec les autres personnes de peur de se prendre des
reproches en pleine figure.

par slicer Ven 31 Mai - 13:09

Tout en se dirigeant vers les mariés, il lui répondit :

Nos épousailles ... J'ai déjà l'impression qu'elles datent d'il y a si longtemps, alors que ca ne fait meme pas une année ...
Mais c'était un grand jour en effet.
Dis moi si je me trompe, mais je crois que tu apprécies beaucoup la mariée non ? Et je ne viens pas que pour le marié, je viens pour les deux, dit-il en souriant.

Les voilà proche du couple maintenant, et slicer fait un grand sourire à ses amis.

Félicitations vous deux !

Et de donner une franche et virile accolade au marié.

par Naelig Ven 31 Mai - 18:58

Je voyais plein de gens ke j'connaissais pas et peu ke j'connaissais et j'me cachais dans un crou d'ombre.
Les mariés étai assaillis de tout'par, alors j'les laissai à leur coupin.
J'me d'mandai pourqôa k'j'étai v'nue ô final et doucemen, j'cherche la porte du coin d'l'oeil, pour m'carapater comme ke j'sais si bien l'faire.....même si j'y arrive pô toujour.

par Margot Strandhögg Ven 31 Mai - 19:32

Un sourire amusé, elle se laisse entrainer.
Quand à elle, elle a l'impression que ça fait une éternité qu'ils sont mariés, mais une éternité qu'ils sont séparés...
La main se relâche lorsqu'ils arrivent enfin face aux mariés.
Une révérence devant celui qui restera à ses yeux le Maréchal de Breizh, un sourire plein d'amitié à Camille, qu'elle apprécie de retrouver en ce jour.

Toutes mes félicitations pour ce beau jour. Profitez de votre bonheur, ce qui est pris n'est plus à prendre.
Elle s'approche de la belle brune, et lui prend les mains avec amitié. Ne sachant plus si le tutoiement est de rigueur, le temps a passé.

Nul doute que vous ayez enfin trouvé votre Unique, le bras qui permet d'avancer dans la vie sans plus craindre de trébucher.

Un sourire, et elle tourne la tête vers la haute silhouette qui se trouve à ses côtés, fière et amoureuse, le temps et le couvent n'ont rien changé à cela.

par Lanaelle du Chastel Ven 31 Mai - 21:39

Lanaelle aperçut Naelig qui essayait de s'enfuir. elle sourit et
alla la chercher

Eh bien ma puce, ou tu vas, viens j'ai trouvé un coin tranquille
on peut y rester toutes les deux.

par coldtracker Sam 1 Juin - 9:32

Il reçut les voeux avec joie et dit :
-"Merci à vous deux"

Et de recevoir l'accolade en souriant....

-"Nous sommes heureux de vous avoir parmi nous."

Revoir tout les vieux amis faisait du bien, il y avait des liens qui ne pouvaient être brisés...

par **Camille** Sam 1 Juin - 21:16

Le visage de Camille s'illumina en voyant son amie qui était sortie de sa retraite pour venir. C'est dans ces instants là qu'on réalise combien nos amies nous manquent. Serrant les mains dans les siennes, elle finit par l'attirer à elle et la serre contre elle avec chaleur. Balayant le vouvoiement formel d'un rire joyeux.

Margot! Ton absence m'a fait si peur! Je suis si heureuse et soulagée de te voir aujourd'hui! Merci de ta présence. Je vais demander que l'on vous prépare une chambre que vous puissiez vous reposer ici après la fête et que nous puissions discuter au calme tandis que ces messieurs discuteront armes, sécurité et tous ces sujets qui fascinent nos militaires d'époux.

Petit nez qui se froisse en sentant la maigreur de son amie sous ses doigts.

Et tu ne repars pas d'ici sans un peu de remplumage. Slicer, dites moi que vous pouvez rester quelques jours, je voudrais pouvoir prendre soin de ma chère amie.

L'instinct du médecin et de la maman n'est jamais bien loin chez l'italienne et elle réfléchit déjà à quelles infusions préparer pour redonner des forces et des rondeurs à la blonde.

par Margot Strandhögg Dim 2 Juin - 18:53

Un sourire soulagé à la brune radieuse, et elle se laisse attirer dans ses bras.
Toi aussi tu m'as manqué.
En effet, nous avons du temps à rattraper.
Je serais ravie de rester un peu après la fête, au moins pourrons nous profiter un peu.

Un regard lancé à Slicer, les yeux suppliants.
Parce qu'elle n'imagine pas un autre long trajet, et que les forces qui l'ont fait courir jusqu'à lui se sont évanouies.La main frêle se pose sur l'avant bras de son époux.

Qu'en dis tu? Acceptes tu de demeurer?
Il nous faut laisser les époux à leurs invités. Et je me sens quelque peu fatiguée.

Et surtout, j'aimerai avoir un endroit pour te retrouver, toi, hors des regards. Discuter, parce que réapparaitre, c'est bien, s'excuser, c'est mieux. Et puis juste t'enlacer, et reprendre des forces contre toi.
Mais ces mots ne franchissent pas les lèvres, juste les azurs qui parlent.

par Contenu sponsorisé