Re: Accueil des invités

par dardus Sam 11 Mai - 15:04

Clap, clap, clap clap!

Voici le bruit qui se faisait entendre dans les couloirs. Mais qu'est-ce dont? On croirait déménager un meuble ou une charrette avec une roue qui ne serait plus droite.

Soudain le bruit s’arrête et la porte s'ouvre. La première chose qui passe est une canne... Oui une canne, puis un vieux. Un vieux?!!! Ce n’est pas bientôt fini oui de dire qu'il est vieux?!

Toujours est-il que son Excellence Victor de la Rosas fit son entrée en scène, oublié les rose qui jaillisse, les applaudissements et les vêtements brodés de fil d'or et de mille autre couleur.

Un mantel couleur rouge bordeaux, un chapeau d'apparat blanc, les vieilles bottes habituel mais toutefois un peu plus propre et enfin sa canne... Et son hermine sur l'épaule! Manquerais plus qu’on l'oublie elle!

Ça y est, il était là, bon bien que on ne l’attendait pas ainsi, il saluât toutes et chacun.

Mes chers amis, damoiselle et damoiseaux c'est un plaisir de vous voir!

par **Camille** Sam 11 Mai - 15:50

Camille sentait la main de Maël dans la sienne et en cet instant, le ciel pouvait s'effondrer, elle s'en fichait totalement. Elle se sentait forte, elle se sentait en sécurité et c'est avec les yeux pétillants qu'elle accueillit Cholet parmi eux.

-"J'ai tendance à penser que nous ne sommes jamais de trop dans les moments de bonheur comme dans ceux de lutte. Même si en Breizh on a tendance à aimer se taper dessus quand tout va trop bien."

Regard malicieux de l'italienne avant qu'un son caractéristique ne raisonne pour annoncer la venue du cousin. Camille en est heureuse. C'est que sa famille tient de la peau de chagrin et que Victor soit là revêt une importance toute particulière.

-"Un peu plus et c'est que tu serais arrivé en retard, cousin! Ca me fait si plaisir de te voir enfin."

par Mab. Sam 11 Mai - 19:43

Mab en était aux salutations d'usage et autres présentations lorsqu'un soleil de chevelure apparut, éclipsant en un instant de son fin sourire les visages alentours aux yeux de la dimezell. La Cholet ! S'il n'y avait eu les conventions, elle lui aurait bien sauté dessus, mais étiquette obligeant, la gueuse se contenta d'avancer et de se plier au jeu de l'énième genuflexion.

Si Grascieuse présence est un plaisir sans cesse renouvelé, je ne puis que vous en remercier vostre Grandeur. Vous me voyez ravie de vous revoir en lieu plus convivial.

Les formes y étaient et le ton, quoiqu'un tantinet grandiloquent, reflêtait bien toute l'admiration de Mab pour la comtesse. Et ça, c'était plutôt rare venant de la brunette.

par Lanaelle du Chastel Sam 11 Mai - 19:49

A l'entrée de la Comtesse de Cholet et de son Excellence De la rosas,
Lanaelle fit la révérence d'usage puis elle se mit dans un coin. Elle
n'était pas très à l'aise parmi toutes ces personnes, elle se sentait
pas à sa place du tout.

par Tadeus Sam 11 Mai - 21:23

Tadeus qui était un peu en retard, resta dans l'ombre il ne voulait pas trop enervé sont cousin par sont retard.

Il regarda les invités et il ne vit que du beau monde, Camille et sont Cousin avait de la chance d'être si bien entouré.

par **Camille** Sam 11 Mai - 21:29

Camille avait vu une soutane. Si, si! Bon pas forcément une soutane, soutane, mais un propriétaire de soutane. Son propriétaire de soutane préféré pour tout dire et dans un sourire, elle abandonna un instant Maël pour venir s'agenouiller devant Tadeus et baiser sa bague d’évêque.

-"Monsieur de Nantes, vous avoir à cette célébration est un honneur qui me touche tout particulièrement. Venez donc, je suis sure que vous serez ravi de voir notamment votre suzeraine qui vient également d'arriver."

Et d'entrainer Tadeus avec les autres avant de reprendre en douceur la main de Maël. Surement un des moments les plus intimes qu'ils avaient participé jusqu'à présent. Ciel que l'union lui semblait encore si loin en cet instant...

par Tadeus Sam 11 Mai - 21:42

Tadeus n'aimait pas qu'ont s'incline ainsi devant lui, il ne le méritait pas il n'était pas sa Suzeraine qui le méritait vraiment. Il fit un geste à Camille pour qu'elle se relève.

Relève toi Camille, je ne mérite pas autant d'égard je ne suis qu'un petit Evêque.

Puis il continua d'écouter Camille.

Un honneur partagé, mais j'ai pas envie de fatigué tes invités avec mon manque d'humour.

Il continua à la suivre, tout en souriant.

Madame de Cholet à certainement d'autres envies que de me voir, je l'embêtte assez souvent pour qu'elle puisse avoir un peu de repos de ma part.

Puis il resta avec les autres invités en prennant comme même un petit verre de Chouchen.

par coldtracker Sam 11 Mai - 22:12

Maël salua Dardus et dit:
-"Ravi de vous voir ici cher ami..."

Il fit un clin d'oeil à Mab lui signifiant que madame Pipeau avait été remarquée.

Et après Camille il vint voir le cousin Tadeus , il ne s'inclina point non pas qu'il n'aimait pas Tadeus mais le fait était que le colosse ne s'inclinait que devant un souverain qu'il respectait ....

Autant vous dire que riwan n'avait pas eu le droit au geste...

Il salua son cousin avec bonne humeur et lui dit:
-"La bienvenue ici..."

par Alazarian Dim 12 Mai - 5:05

Alazarian poliment salua tout le monde, d'une révérence distingué. Mais c'était tout, il salua Milena d'un sourire, l'une des rares qu'il connaissait ici, puis fis de même envers Dardus et Tadeus.

Ensuite il se décala pour ne pas gêner, il connaissait les coutumes de politesse. Mais n'était pas un habituer du grand monde. Il avait aussi espoir que ses supérieurs allaient venir. Sinon il ferai au mieux pour leurs faire honneurs.

par lanceor Dim 12 Mai - 10:47

Les invités affluaient, le mestre saluait ceux qu'il connaissait, rendant un sourire ici ou un signe de tête par là. Il s'était posté près d'un petit guéridon, non loin de l'âtre, sur lequel était posé une bouteille de lambig.
Voyant et entendant la comtesse de Cholet arriver, il alla lui présenter ses respects.

Votre Grandeur... Heureux de vous revoir ! Je comptais sur votre présence en ces lieux. J'ai déjà pris place et ai fortifié un endroit stratégique !

Il désigna les fauteuils près du guéridon.

Me feriez vous l'honneur ?

par Le vieux Gurwan Dim 12 Mai - 11:39

C'est pas tout ça, mais le vieux Gurwan rentre un peu embarrassé de déranger tout ce beau monde car l'heure tourne et le druide, il va pas tarder à rappliquer! Alors va falloir bouger tout ça, mais comme dirait la Dame, avec tact.

Les demoiselles, dames et messire. Veuillez bien m'excuser, mais l'heure étant, il faudrait que nous laissions le temps à chacun de se vétir et de se rendre à la clairière aux Fées pour la célébration.

Vivement que la Dame elle trouve quelqu'un de plus policé pour ces trucs là, le pauvre soldat ne se fait décidément pas facilement à tout ça!

par Chimera Dim 12 Mai - 12:54

L'avantage d'arriver en retard, c'est que quand on est roux comme elle l'est, tout le monde vous remarque.
Le désavantage -et conséquent celui-là, c'est que du coup tout le monde vous salue d'un coup, et qu'il faut avoir la tête bien accrochée pour ne snober personne, fut-ce involontairement. Mais la vannetaise est rompue à l'exercice et procède comme tout bon méthodiste, dans l'ordre. A quelques exceptions près!
Aux époux elle adresse un nouveau sourire -chacun étant un rayonnant pied de nez aux balourds la disant sans cesse au bord du suicide.
Au Comte, donc:

- C'est en effet la raison de la mission oui, cher ami. Il est certain qu'on répond plus volontiers à une levée de ban de cette nature que d'une autre!

A Camille, elle offre un baiser sur la tempe. Salut à des mots empreints de sagesse. Puis un clap clap inconnu fait son entrée, et se voit accueilli par un signe de tête poli. Alors qu'elle se demande encore dans quelle catégorie des chers amis, damoiselle ou damoiseau elle s'intègre, une flopée de mots fleuris lui arrivent, vite attribués à la pétillante recrue de Rhuys. La voilà qui allie Grasce et Grandeur, oublieuse ou ignorante de la justesse de la synthèse en ce qui concerne Cholet. En réponse à la courbette, la nuque s'incline, autant par politesse réjouie que parce que la scelaig reconnait là une âme de mots. La brune l'apprendrait peut être un jour, mais c'est aussi la druidesse, donc, qui répond au salut enthousiaste.

- Vous savez le plaisir grandement partagé, Mab. Et l'adjectif n'a rien à voir avec un titre quelconque.

Sourire, à nouveau. Elle aurait bien glissé une main sur le bras qui dans tous ses égards la tutoie, mais se refuse à avoir l'air de réclamer ce que Rhuys a pris sous son aile. Elle s'abstient, donc, comptant sur l'interlocutrice pour sentir l'intention.
A la jeune femme qui s'incline et semble chercher à se fondre avec les tentures du salon, un sourire. Son nom hum... Celui d'Athris lui vient, comme lié à ce minois jouvenceau, mais elle ne parvient plus à associer aux traits l'appellation leur étant due. Elle fera amende honorable, sitôt les derniers convives salués.
Voilà venir le seigneur de Torfou, qui comme à son habitude exprime qu'il se glisserait bien sous les tapis pour éviter de voler à sa suzeraine le moindre éclat de lumière. A elle, donc, de le détromper, encore, quitte à le faire mentir devant l'assemblée:

- Tadeus! Quelle joie. Vous avez fait bonne route?

Va faire croire, après ça, que je n'ai pas envie de te voir. Et toc. Elle n'a qu'à peine le temps de saisir la réponse que Lanceor l'interpelle. Chevaleresque, il la convie à le rejoindre, après l'avoir contrainte à se déplacer seule! L'air de rien, hein. Dans un sourire taquin, elle s'approche de lui et souffle:

- Vous comptiez sur ma présence, mais n'avez pas entrepris démarche pour vous en assurer! Fort heureusement, j'ai trouvé le chemin comme une grande.

Clin d'oeil au mestre d'armes. Elle s'apprête à s'asseoir quand l'homme ayant accueilli Youen fait son entrée pour annoncer que les choses sérieuses allaient commencer. Elle appréhende, la comtesse de voir le neveziad délaissé officier. De le voir tout court, en réalité, mais elle n'en dira rien, et s'absorbe pour museler l'angoisse dans le sourire de son hôte de guéridon. S'asseoir, pour le simple plaisir d'avoir accédé à la requête, puis proposer:

- A défaut d'un verre de cet attirant breuvage, m'offrirez-vous votre bras jusqu'à la clairière?

par lanceor Dim 12 Mai - 14:33

Même pas le temps d'une lampée que déjà résonne une nouvelle levée de banc ou de fauteuil, çà dépend du grade.

Comtesse, je n'ai pas été trés entreprenant avec vous car je vous sais bien entourée de vos gens. De plus, le chemin de Janzé ne pouvait vous échapper. Vous, une fille de la nature, devez savoir que la mousse au pied des arbres indique le Nord...

Sourire en coin.

Je m'offre bien volontiers à vous jusqu'à la clairière !

Saisissant le baudrier qu'un valet lui remet et s'ajustant.

Offrant son bras dextre.

Serviteur, votre Grandeur !

par coldtracker Dim 12 Mai - 14:41

Maël se tourna soudain inquiet vers Camille et dit:
-"Il y a une chose que je n'ai point demandé, dois-je porter une tenue particulière pour la cérémonie? Où est ce que les grandes tenues habituelles font aussi usage ? "

par **Camille** Dim 12 Mai - 17:24

Camille devant le regard inquiet de son promis quand à sa mise ne put retenir un rire doux et attendri.

Vous êtes beau pour moi quelque soit la tenue. Alors ne vous inquiétez point et prenez une de vos vêtures d'apparat avec ce simple indice. Votre épousée paraitra en bordeaux. Et il est d'ailleurs temps pour moi d'aller me changer si nous ne voulons pas faire attendre tout le monde!

Un dernier regard attendri à Maël avant de s'excuser auprès des invités et de les confier aux soins de Gurwan, puis Camille s'envola quatre à quatre dans les escaliers en entrainant sa demoiselle de compagnie pour se donner une allure plus adaptée à l'occasion.

par coldtracker Dim 12 Mai - 17:26

-"C'est noté." dit -il en souriant...

Il salua tout le monde et s'en alla changer de tenue.

par Bioul Dim 12 Mai - 18:13

Il arrivèrent fin prêts au salon. Ils avaient trainés afin de se pomponner et de revêtir les habits de circonstance. Pas trop chic non plus, le but n'était pas de faire un concours de celui qui brillerait le plus. Sa dame le suivait de près et il sentait qu'elle le collait de plus en plus, ne voulant plus lâcher son bras.

Rassurez vous, votre calvaire semble être repoussé pour l'heure.

En effet les convives avaient quittés le salon et seuls quelques trainards bavardaient encore de ci de là. Cette entrée en matière était du plus mauvais effet. Il se rattraperait en temps voulu avant la cérémonie ou juste après selon qu'ils arriveraient en avance ou en retard.

Bref sourire, il l'embrasse au coin des lèvres et déjà il est temps de faire route vers le lieu des célébrations!

par Contenu sponsorisé